A l'ombre des cerisiers
A l’ombre des cerisiers.
Hymne du printemps, frais et parfumant
Tu reposes tendrement devant le firmament
Pétales tombant tout doucement
Tu sens en toi le désir montant
Sonnet chanté, siffloté, murmuré
A l’ombre des cerisiers tout est figé
Eternité, infinité, rien n’est épargné
Toi-même ton souffle est immobilisé
Chante avec moi, caresse et paresse
Danse avec moi, douce allégresse
Enlace-moi, délectable tendresse
Embrasse-moi, chaleureuse maîtresse
Symphonie du désir, rêve envolé
Un coup de vent, tout est oublié
C’est ainsi que le temps est passé
A l’ombre des cerisiers.
PN. Pom'